13 août 2012

Pourquoi il ne faut pas aller voir le talk de Julien Dubois au JugSummerCamp

Le JugSummerCamp 2012 vient d'annoncer son programme. Je ne m'attarderais pas à essayer de vous convaincre de la nécessité de vous joindre à cette merveilleuse conférence, qui a su doser à la perfection décontraction et excellence technique pour une rencontre inoubliable (bref, un peu comme le BreizhCamp quoi :P)



Par contre, vous aurez peut être remarqué dans le programme la session de Julien Dubois. Voici donc 10 raisons pour ne pas perdre votre temps avec cette session :


  1. C'est le sujet qu'il a présenté à Devoxx, et que vous avez peut être déjà vu ou que vous pouvez consulter sur Parleys.
  2. Ca parle de Spring, HTML5, Rest, Cassandra, bref rien que des technologies sans grand intérêt.
  3. C'est programmé juste après le repas, autant dire qu'à cette heure là avec la digestion ça va être dur d'encaisser un cours magistral sur NoSQL
  4. Le sujet est l'application Tatami, le Twitter-like de Ippon. Tout le monde sait bien que ça ne sert à rien twitter, surtout en entreprise - d'où la configuration du proxy qui le bloque d'ailleurs.
  5. Julien sera au BreizhJug le 1er Octobre pour nous présenter ce même sujet avec plus de temps pour répondre à toutes vos questions, alors autant attendre un peu.
  6. A la même heure il y a une excellente session que je vous recommande vivement.
  7. Julien a un gros nez.

Je sais, ça ne fait que 7 raisons, mais je n'en trouve pas plus. Du coup je vais devoir mettre les bouchées doubles pour blinder la session concurrente. 

Consolation, ceux qui choisirons son sujet (très bon soit dit en passant, pour l'avoir suivi à Devoxx) m'auront tout de même accompagné le temps de la keynote, car le JugSummerCamp me fait l'immense honneur d'ouvrir cette troisième édition.

rendez-vous le 14 septembre !

1 commentaires:

Unknown a dit…

Néanmoins, il existe une excellente raison d'assister à sa présentation : pouvoir réserver sa place pour la présentation sur Dart, le seul vrai langage de l'avenir.