Ce week-end pascal est consacré à une longue réflexion pleine de conséquences. Dans ces cas là, j'ai une astuce : la tondeuse.
En plus d'entretenir le jardin, cet instrument possède un pilotage simple qui libère l'activité neuronale. Il m'arrive donc couramment d'avoir recours à cet ustensile - de jardinage a priori - pour réfléchir activement ou prendre des décisions.
J'ai trouvé une explication théorique à cette pratique : d'après cet article, le développement neuronal du jeune enfant est favorisé par le quatre-pattes et par les mouvements saccadés qu'il impose à la boîte crânienne. Ma théorie est donc qu'on peut extrapoler ce résultat à l'âge adulte, les vibrations d'un engin à moteur favorisant ainsi le bon fonctionnement de la matière grise et la résolution de problèmes qui paraissaient hors de portée.
Je propose donc qu'on équipe tous les bureaux d'études de grands espaces verts, en plus ça sera plus joli.
3 commentaires:
Il y a le vélo aussi. Ce n'est pas un effort physique très intense (du moins, lorsque tu pédales sur du plat), c'est un mouvement hypnotique (au bout de 30 minutes tu ne te rends plus compte que tu pédales), tu consommes plus d'oxygène, donc ça t'aides aussi à la réflexion... et puis ça fait moins de bruit et de fumée qu'une tondeuse.
Oui, j'ai constaté ça aussi à la belle époque où je faisais du VTT chaque dimanche. 3h à se faire "vibrer" au rythme des chemins caillasseux, ça te revigore un homme - et parfois ça lui bloque une vertèbre aussi, mais bon
ça existe les tondeuses à pédale ?
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